Mon plus grand dĂ©fi, ne pas aller jusqu’en haut.

🌋 Mon plus grand défi ? Ne pas aller jusqu’en haut.

🌋 Rinjani : quand le sommet n’est plus la seule victoire

Il y a des expériences qui marquent un avant et un après
Gravir le mont 
Rinjani, en Indonésie, a été pour moi l’une d’elles

Un défi physique — plus dur que mon expérience du marathon.
Mais surtout…un 
défi intérieur!

Dès les premières heures, je me suis dit:
« C’est bien plus difficile que je ne l’imaginais »

7 h d’ascension, +1400m de dénivelé, le corps déjà bien éprouvé…
Enfin, le camp de base (2600m) pour la nuit.

⏰ 2h du matin
Le froid, le vent & montée au sommet à la frontale.
Moi qui ai le vertige, je m’imaginais sur cette longue crête étroite,
les jambes raides, la respiration bloquée.

🗣️ C’est là qu’une autre voix s’est manifestée
Pas celle de la performance ou de la fierté…
Mais celle de la raison, de la conscience:

« Il reste 3h jusqu’au sommet,
2 pour redescendre au camp de base,
6 à travers le cratère pour rejoindre le 2ᵉ camp,
puis le jour suivant les 7h finales (-1600m). »

Ce n’était pas un abandon ni échec,
mais un 
choix lucide né d’un lâcher-prise bienveillant

🌬️ Préserver mes forces
🛜 Écouter mes signaux
❤️‍🩹 Respecter mes limites

Je ne ferai pas cet aller-retour de 5h pour atteindre les 3 726m,
mais je veux faire le reste et aller au bout de ce challenge.

💭 Sur ce volcan, j’ai compris qu’au-delà de se respecter,
il s’agit de 
se connaître pour mieux se calibrer.

Trouver ce juste équilibre entre:
➡️ se bouger
➡️ se lancer des défis
➡️ flirter avec ses limites…
sans jamais les franchir au point de se blesser.

C’est ça, pour moi, l’écologie de soi 🌱:
un respect vivant entre le corps, le mental et le cœur.

✨ Et si, comme moi sur le Rinjani, ton prochain sommet était celui-là ? 💛