Selon des études récentes de l’AFP reprises par L’Obs et Le Magazine de la Santé, 70 % des salariés déclarent être satisfaits de leur entreprise et contents de leur organisation.
Cependant 40 % des salariés français s’absentent du travail au moins 1 fois dans l’année, avec une moyenne de 14,5 jours par personne. Cet absentéisme peut s’expliquer par des facteurs comme le stress, la surcharge mentale, voire le burn out, etc.
L’étude «Bien-Être au Travail» publiée par l’institut Think pour le cabinet de conseil Great Place To Work est encore plus inquiétante. 17% de la population active serait désormais potentiellement en situation de burn out : ce pourcentage monte à 24% chez les managers.

Le stress et la pression peuvent engendrer névralgies, torticolis, tensions des trapèzes, troubles du sommeil, troubles musculo-squelettiques (TMS), baisse de la motivation, crise d’angoisse, irritabilité, sensation d’être vidé, etc.

La loi Rebsamen de 2015* sur le dialogue social modifie les règles de fonctionnement et l’organisation des entreprises. Elle met entre autre en exergue la Qualité de Vie au Travail (QVT). Elle prévoit une négociation sur la QVT et donc sur la gestion du stress et le risque de burn out.